Le projet

Le manioc est l’une des plantes vivrières les plus importantes de la zone tropicale humide. La production annuelle de manioc en Afrique représente plus de la moitié de la production mondiale,estimée à 256,56 millions de tonnes.

Le projet consiste à l’achat d’un champ cultivable et à la culture de manioc dans un but de commercialisation sous différentes formes de produits finis.

Projet de culture et commerce de manioc

Les questions à se poser

  • Les caractéristiques des différentes variétés et leur rendements
  • Lieu de production (Choix du champ)
  • Choix d’un technicien agricole
  • Mise en oeuvre de la plantation
  • Organisation de l’entretien / protection de la culture
  • Gestion de la récolte et organisation des activités post-récolte
  • Organisation de la commercialisation

Les coûts prévisibles

Il peut-être pertinent de financer une étude d’implantation afin de valider la qualité du sol, la présence de main d’oeuvre qualifiée, la possibilité de conservation ou de transformation sur place et enfin les facilités d’accès aux véhicules de transport du produit fini.

+ Acquisition du champ
+ Coût de main d’oeuvre
+ Coût de la plantation (Achat des boutures saines, préparation du sol, etc…)
+ Coût  de l’entretien / protection de la culture (Désherbage, Produits de Fertilisation, Produits d’entretien, etc…)
+ Coût des activités post-récolte (stockage, conservation, transformation, transport, commercialisation)

Les avis de notre équipe

Investissement
Risques
Originalité
Rendement

LE CONSEIL KODJI

En Côte d’Ivoire, par exemple, le manioc est produit dans tout le pays mais principalement dans le Sud, l’Ouest et le Centre. La production annuelle atteint 2,41 millions de tonnes, avec un rendement moyen de 6,5 tonnes par hectare. Le manioc contribue à l’alimentation humaine et animale. Il est aussi utilisé dans les industries (textile, papier, etc.).
Il existe en Côte d’Ivoire plus de vingt produits dérivés du manioc (attiéké, pâte de manioc, placali, foutou, toh,farine, amidon, gari, pain, gâteau…).
Les deux premiers font l’objet de commerce au niveau national et international. Des possibilités de commercialisation à plus grande échelle sont donc possible pour tous les autres produits dérivés.

Sachant les facteurs de risques viennent surtout de la qualité des boutures utilisées à l’origine , il s’agit ici d’un projet peu risqué et qui se veut très rentable lorsque les produits finis sont repensés, la commercialisation organisée et qu’il est laissée une place importante à la recherche continue de nouveaux débouchés .

KODJI peut vous accompagner dans la réflexion du projet, la mise en relation avec la main d’oeuvre compétente ainsi que dans la réflexion sur l’organisation de la commercialisation.